Idées de lecture ► La philosophie politique n’est pas du gâteau, surtout en matière de madeleine…

 

« Marcel Proust journées de lecture »
Le célèbre auteur de « A l’ombre des jeunes filles en fleur  » né en 1871 et mort à Paris en 1922, se livre dans le petit opus tendre qui met en avant un vibrant éloge de la lecture mais aussi de son enfance. Un livre tendre à lire à la lueur d’une bougie comme il aimait faire. Question de constater que la flamme brille toujours.  
144 pages, 15,90 euros, paru début septembre, Editions de l’Aube.
 
« Les cakes étonnants de Jean Sulpice »
Vous avez aimé le cake de votre goûter en revenant de l’école étant enfant, Découvrez les cinquante recettes revisitées par le chef étoilé Jean Sulpice qui va vous transporter au royaume du sucré et du salé comme un prestidigitateur dans le travail de recherche et d’expérimentations culinaires. Un p’tit cake tain, cannelloni cake au lard, un cake-Monsieur et des nouveautés qui font saliver d’un plaisir simple et gourmand.  
176 pages, 29,90 euros, 176 pages, paru en septembre, Art de Vivre Flammarion.
 
 
« Le club des libéraux »
Une couverture qui met de suite le lecteur dans l’ambiance dans la discussion au pays de la philosophie politique, des échanges fumeux que l’on retrouve si bien dans bon nombre de débats contemporains. L’auteur avec délicatesse mais une connaissance parfaite du milieu intellectuel raconte la pensée libérale, ses fondements, ses développements à travers d’un club imaginaire. la pensée se partage dans un éloge jouissif en toute liberté. On entre dans le domaine di libéralisme par une porte dérobée sous forme animée de débats entre fervents de la belle parole.
349 pages, 24 euros, paru le 22 septembre, Les éditions du Cerf.
 
 
« Le souffle d’ange »
La restauration d’orgues est souvent un métier masculin. Quand Ange décide de consacrer toute jeune au métier, il lui faut quitter sa région natale pour aller avec son mari dans les Vosges. La vie va être bouleversée dès 1914 mais la jeune femme tiendra bon pour devenir l’une des figures les plus connues de la facture d’orgues. Un roman doux et dur dans la période délicate. Une belle leçon de courage aussi.  
416 pages, 22 euros, paru en septembre, Les Presses de la Cité.